tout ce que tu voulais savoir
c’était pourquoi je t’aimais
inlassablement, tous les soirs
c’est tout ce que tu me demandais
combien de fois, combien de fois ?
est-ce que tu le sais bien toi-même ?
tu m’as harcelée avec ça
que je te dise pourquoi je t’aime
REFRAIN :
ce que tu ne comprenais pas,
alors que moi ça me va comme ça,
c’est que l’amour, ça ne s’explique pas,
faut se laisser vivre tant qu’il est là
t’as tout gâché, il est trop tard
je me suis posé des questions
franch’ment c’était pas beau à voir
j’admets que tu avais raison
cet amour était une folie
j’en suis revenue vite, crois-moi
j’ me demande encore c’ qui m’a pris
je reviens de loin, hou la la !!!
REFRAIN :
ce que tu ne comprenais pas,
alors que moi ça me va comme ça,
c’est que l’amour, ça ne s’explique pas,
faut se laisser vivre tant qu’il est là
puisque tu me l’as demandé
j’ai préparé ma petite liste
de ce qui n’ pouvait pas aller
mais c’est bien parce que tu insistes
d’abord, il faut bien être honnête
au lit, t’étais vite fatigué
pi t’assurais pas comme une bête
autant dire que j’étais frustrée
REFRAIN :
ce que tu ne comprenais pas,
alors que moi ça me va comme ça,
c’est que l’amour, ça ne s’explique pas,
faut se laisser vivre tant qu’il est là
tu m’aurais voulu pudibonde ?!!
de nous deux, c’est toi le coincé !
allez, c’est pas la fin du monde
tu avais bien d’autres qualités
laisse-moi juste réfléchir un peu
à ce qui me plaisait en toi
qui faisait qu’ ça collait, nous deux
avant que ça vire au chemin de croix…
REFRAIN :
ce que tu ne comprenais pas,
alors que moi ça me va comme ça,
c’est que l’amour, ça ne s’explique pas,
faut se laisser vivre tant qu’il est là
t’es pas beau, pas drôle, pas gentil
tu bois, tu fumes, et ton PC
est certainement mieux loti
que moi, pauvre fille délaissée
pendant que tu jouais en réseau
avec tous tes potes virtuels
j’ me faisais offrir le restau
par des types tellement plus réels…
REFRAIN :
ce que tu ne comprenais pas,
alors que moi ça me va comme ça,
c’est que l’amour, ça ne s’explique pas,
faut se laisser vivre tant qu’il est là
je rentrais en catimini
tu ne te rendais compte de rien
c’était parfois plus de minuit
voire… hum hum… le petit matin
voilà, c’est ça qu’ j’aimais en toi
je te trompais impunément
tu n’as jamais douté de moi
je te trouvais attendrissant
REFRAIN :
ce que tu ne comprenais pas,
alors que moi ça me va comme ça,
c’est que l’amour, ça ne s’explique pas,
faut se laisser vivre tant qu’il est là